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Catacombe - Kinetic (CD) Cardboard Sleeve

post metal, Slow Burn Records, Slow Burn Records
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BURN 007-10 xs
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Debut album of Portuguese band Catacombe uniquely combines modern metal and post rock. Developing the ideas of their first EP “Memoirs” the band makes a pronouncing step of their way of creating memorable sound. The music features fine guitar passages, heavy riffs and complex melodic constructions. The album was recorded in January/March 2010 at Soundvision Studios.Mastering is performed by James Plotkin (Isis, Khanate, Pelican, Earth). The CD comes in noble Cardboard (Mini LP) Sleeve.

Tracklist:
1 Grundsatz 1:56
2 Supernova 7:53
3 Anna-Liisa 7:50
4 Memoirs (Extended) 10:23
5 Cavalgada Épica 7:39
6 Mockba 8:46
7 Sequoia 8:32

Artist:
Catacombe
Artist Country:
Portugal
Album Year:
2010
Title:
Kinetic
Genre:
post metal
Format:
CD
Type:
CD Album
Package:
Cardboard Sleeve
Label:
Slow Burn Records
Cat Num:
BURN 007-10
Release Year:
2010
Country Of Manufacture:
Russia
Review
Pavillon 666
8.5/10
17.02.2011

En 2007 au Portugal, Pedro SOBAST décide d’écrire et d’enregistrer un EP « Memoirs » purement instrumental. Et ainsi est né le projet CATACOMBE. En 2008, CATACOMBE change de forme et devient un groupe à part entière avec l’arrivée de différents musiciens. En décembre de la même année, ce nouveau groupe commence à donner quelques concerts. Puis, début 2010, le combo se lance dans l’écriture d’un nouvel album. Ce dernier sera masterisé par James PLOTKIN (ISIS, KHANATE, PELICAN, EARTH).

CATACOMBE propose une musique particulière qui s’inscrit difficilement dans un style précis. Le groupe semble s’amuser avec un bon nombre d’influences. On sent bien entendu l’énergie du rock progressif mais de là à dire que le groupe rentre dans cette case, il y a de la marge. ISIS semble être le groupe le plus proche de ce que joue CATACOMBE mais il serait injuste de les réduire à cette comparaison. De plus, CATACOMBE est un groupe purement instrumental ce qui le rend encore plus difficile à classer.

La production de cet album est très professionnelle. Tous les instruments sonnent à merveille. On est vite conquis par la clarté du son de cet album. On reste sur des guitares puissantes quand il le faut. Les sons clairs sont traité avec une grande pureté ce qui renforce le contraste entre les différents moments à l’intérieur des morceaux. La batterie a un rendu très acoustique, loin des effets digitaux trop modernes. La basse est elle aussi très présente ce qui rend l’ensemble complet et homogène.

« Kinetic » s’écoute d’une seule traite. Même si l’album se divise en 7 pistes, on a vite fait d’oublier sur quel morceau on se trouve. Cela peut être problématique pour certains mais c’est aussi l’effet que procure un album instrumental. Certains auront aussi vite fait de trouver tout ça un peu long mais à ceux là, on est tenté de dire de revenir sur cet album à un autre moment. On apprécie ce genre de groupe la tête reposée, lorsque l’on a envie de se détendre ou lors d’un moment privilégié. Il est évident que l’écoute n’est pas la même pour ce type de disque que pour un album traditionnel de rock ou de metal. Mis à part « Grundstaz » qui ouvre l’album avec sa minute 56, le reste des morceaux est nettement plus long, dépassant largement les 7 minutes et même les 10. De ces titres, on retient « Supernova » qui vous met très rapidement dans le bain. Le metal est très présent sur ce morceau. On varie néanmoins les ambiances passant du metal à des parties claires que la ligne de basse rend assez inquiétantes. Les riffs dégagent une puissance certaine que l’on ne peut nier. « Anna-Lisa » évolue dans un registre quelque peu différent. Ce morceau est lui aussi très progressif mais on sent une plus grande complexité dans les riffs.
CATACOMBE semble tout de même jouer énormément sur les changements d’ambiances aimant passer d’un riff saturé assez costaud à des parties claires plutôt oniriques. « Mémoirs (Expended) » est comme son nom l’indique la version longue du titre « Mémoirs » figurant sur le premier E.P du groupe. Il y a cependant de grandes chances pour que la plus grande majorité de ceux qui vont se procurer cet album découvre cette version plutôt que l’ancienne. L’exercice est néanmoins intéressant car le premier E.P était entièrement joué par un multi instrumentaliste ce qui cette fois n’est pas le cas. CATACOMBE continue de développer son univers sur « Cavalgada Epica », « Mockba » et « Sequoia » toujours un peu sur les mêmes gimmicks. Parfois, on aimerait un peu plus de surprises et de changements. Malgré tout CATACOMBE a fait un choix différent et propose un résultat plus que satisfaisant.

« Kinetic » est une bande son tout à fait réussie, originale et intéressante. Etre convaincant tout en jouant la carte de l’instrumental à 100% n’est pas une chose facile. Le groupe aura du mal à se faire connaître et touchera sûrement un public averti mais peu importe, ceux qui ont du goût pour les choses peu communes et bien faites s’y retrouveront.

Author: CHART
Review
Obscura
30.01.2011

Interesting act coming from Portugal, Catacombe is a four piece band without any vocalist which I’m sure will be able to capture your attention and your likes after you listen to their new album ‘Kinetic’, out on Slow Burn Records.
Being an instrumental band, Catacombe obviously focus their attention on melodies and atmospheres inside each song, not to compensate the lack of a singer, but moreover to deliver something very intimate, something that can virtually be developed into whatever shape or form, since there are not any kind of stylistic boundaries for such a band like Catacombe.
‘Kinetic’ is one of those albums that can be listened 2 or 3 times in a row without ever be boring at all since there are so many variations in the usual song structures: modern metal, echoes of jazz, raw post-rock accelerations, eerie guitar arpeggios, electronic samples, all these elements and many more that’s quite impossible to list are wisely blend together by Sérgio Soares (bass), Eduardo Costa (guitars), Paulo Kwane (drums) and Cristiano Moreira (keyboards and samples).
The song “Memoirs (extended)” is the one that best can introduce this band to a new audience for its huge lenght (over 10 mins) and because it sums up all the features of Catacombe’s sound, something very amorphous in the exact meaning of the term (meaning that can get every wanted shape).
As a footnote I consider ‘Kinetic’ one of the most interesting release of the last months, and I definitely hope to hear news about this band as soon as possible.
Review
Kronosmortus
5/10
08.02.2011

If it comes to instrumental music I prefer Blotted Science or Spastik Ink. It is weak even in the post rock/metal scene, more to be defined as background music.

Több írásomban említettem már, hogy ha bevállalok egy általam ismeretlen csapat anyagáról írandó recenziót, akkor előtte tájékozódom a szóban forgó zenekar múltjáról, addigi tevékenységéről. Meghatározó számomra, hogy melyik kiadó gondozza az adott banda anyagát, mely együttesekhez hasonlítják a csapatot egy-egy kritikában, mely által képet kapok az ismertetésre szánt produktumról illetve annak elkövetőjéről.

A portugál Catacombe esetében a Slow Burn Records és a post rock/post metal voltak a csalik, azonban a végeredmény nem az, amire számítottam. (Talán felületesen olvastam el a lemezre vonatkozó információkat). Mielőtt rátérnék a korong ismertetésére, annyit kell tudni erről a bandáról, hogy 2007-ben alapította Pedro Sobast és egy évvel később már meg is jelentette a Memoirs című EP-t. Az eredetileg szólóprojectként indult csapat még ugyanazon év szeptemberében teljes zenekarrá fejlődött, amikor is Sérgio Soares basszusgitáros, Eduardo Costa gitáros, Paulo Kwane dobos és Cristiano Moreira billentyűs/sampleres csatlakozott Pedro-hoz. 2008. december 5-én mutatkoztak be élőben, a Fábrica Do Somban, Porto-ban adták első koncertjüket a Nadja előzenekaraként, melyet további bulik követtek az A Storm Of Lighttal, a My Own Private Alaska-val, a Minskkel, a Men Eaterrel és a Slamo-val. Ahogy a leírtakból kiderül, a Kinetic az első lemezük. Ha post metalról van szó, a Neurosis, az A Storm Of Light, az Isis, stb. nevei megkerülhetetlenek. Magam is favorizálom a műfajt, az említett csapatokat, noha nem hallgatom őket minden nap. A luzitán banda esetében instrumentális zenéről van szó és mint ilyen, nem az én esetem. Bár ettől függetlenül lehet(ne) ez jó is, más rajongók tetszését elnyerheti, csak az a bajom a koronggal, hogy túl hosszúak a dalok. Ezen túlmenően az is a lemez hátránya, hogy közel sincs meg benne a Neurosisra vagy az A Storm Of Lightra jellemző súlyosság valamint apokaliptikus, világvégét sugárzó hangulat. A lemezen felvonuló hét tétel közül talán a Supernova a legdurvább, a többi lágyabb, mi több monoton, míg a Cavalgada Epica-ban jazzes hatásokra lettem figyelmes.

Azt írja a zenekar myspace oldala, hogy a Catacombe a Kinetic-kel megtalálta a saját identitását a jelen underground zenei színtéren, stílusok és hatások/befolyások elbűvölő puzzle-ját megmutatva. Mindenképpen jól hangzik ez a jellemzés, csak nem igaz.

Author: Dr. Feelgood
Review
Minacious

Say what? Come again? You really mean it? I can’t believe you just said that. More post Metal/Rock music involving musicians occasional staring down at their footwear? You lie sir. Heavy riffing combined with melodic riffing, a lot of acoustic work, ambient keyboards, a solemn and sombre atmosphere. I’m at a loss, what to say. If you like this type of music you’ll probably like Cataccombe, but on the other hand what do I know? I don’t listen to the genre so I can’t really tell you.

Author: Mordant
Review
Invisible Oranges
06.01.2011

The problem with most post-rock/metal is that it is music of compromise. It wants to be heavy yet melodic. That is possible, but both conditions rarely occur together. (Slaughter of the Soul is a rare example.) Usually melodic metal bands mine a wishy-washy middle, catering to the limitations of listeners weaned on Western pop music.

The problem with most melodic bands is that they don’t know to use melody. They ghettoize themselves into genres, and they wield Western music’s 12 notes with little ingenuity. A sophisticated body of thought has arisen over centuries in order to maximize the mileage of those 12 notes. Bands don’t need to be avant-garde serialists to be interesting; Miles Davis did well with a limited modal vocabulary. But he knew what he was doing. Most melodic bands don’t, so they end up running laps around the same minor and major scales.

Catacombe solves these problems. I reviewed this Portuguese act’s debut two years ago. Since then, it has acquired a human drummer and a surer hand. Kinetic (Slow Burn, 2010) is a heartbreaking work of staggering prettiness, and I mean those words in the best way.

This record does not try to be two things at once. It only wants to be pretty. It has no pretensions about growing a beard and trying to be heavy. Occasionally it does step on the fuzz pedal, but only for effect – to turn the screws on the heartstrings. Most of the time, clean tones form webs of conversation and counterpoint. These dewdrops of melody are so gorgeous, it’s almost obscene.

Isis’ last two records went for a similar vibe but failed, due to the abovementioned problems. They got sidetracked by concerns of heaviness, and they didn’t have the finesse to make their melodies sing. My music theory is weak, but from being able to sit through these album repeatedly – for weeks, in fact – without getting bored, I know that Catacombe have that finesse. Their melodies sing. Through harmony and rhythm, tension and release is constantly occurring. Subtle forces are at work to make prosaic ingredients poetic.

A good example is “Anna-Liisa”. The images in its video above come from the Finnish silent film of the same name. (See story here.) This record has no lyrics, so it has no overt narrative. Instead, it’s a journey, a world, a good place to be for an hour. I’ve spent much time there, and you can, too. Download Kinetic for free here, and buy it here.

Author: Cosmo Lee
Review
Metal.de
7/10
07.01.2011

Slow Burn Records lassen dieses Frühjahr ein ganz ordentliches Programm auf die geneigte Kundschaft los. Eine der vielen Veröffentlichungen im Januar ist das erste reguläre Album der Portugiesen CATACOMBE, deren Name zwar geschmackvoll düster ist, aber eigentlich nicht so recht zur Musik passen will. Oder zumindest nicht zu den Bildern, die in meinem Kopf entstehen, wenn ich mir “Kinetic” anhöre.

Ihr Post-Rock ist nämlich weder düster, noch staubig oder gar bedrohlich. Vielmehr beschwören CATACOMBE progressive Instrumental-Arrangements herauf, die gerade in der geschmackvollen Verwendung diverser Gitarreneffekte und Synthesizer mehr als ein Mal an LONG DISTANCE CALLING erinnern. Wie auch bei LDC befinden sich die Kompositionen in einem steten, von Dynamik getragenen Fluss, wie man ihn auf Debüts auf diesem Niveau sehr selten hört. Auch der jazzige Mittelteil von “Cavalgada Epica” zeigt spielerisches Geschick, vor allem verglichen mit den OMEGA-MASSIF-mäßig wuchtigen Riffwänden, in denen der Verlauf des Riffings stets mündet.

Unterstützt wird die phantasievolle Instrumentalarbeit von einer angenehm transparenten, aber natürlichen Produktion. Hier weiß jemand, welchen Verstärker er zu welchem Effekt benutzt und wie man ihn am besten Aufnimmt. Das ist gerade in Zeiten von Allround-Digitalproduktionen mehr als angenehem. Bei aller Liebe zu einem so ambitionierten Projekt wie CATACOMBE muss allerdings auch noch angemerkt werden, dass das Problem von vollständig instrumentalem Post-Rock auch von “Kinetic” nicht vollständig überwunden wird: die richtig emotionalen Momente bleiben bislang noch aus, zwar stimmt das Auf und Ab der Stücke stets wohlgesonnen, Ergriffenheit wäre aber der konsequent nächste Schritt dahinter. Vielleicht beim nächsten Mal.

Author: Timm
Review
Temple of Doom Metal
16/20

If we look with a little attention to the Portuguese metal scene, it becomes obvious that, over recent years, the number of bands/projects has increased dramatically and that have a certain exposure, at least at home with regular concerts that are organized and ease of recording that exists today, on the other hand, this myriad of bands, there is a significant lack of works that fall within the sphere in which they move Catacombe: Post Rock/Metal. Discussions and polemics aside, the fact is that the decade just ended was indelibly marked by this kind of sound, much to blame (in a good way, of course!) names like Isis, Pelican, Neurosis, Explosions In The Sky or Mono before reaching a point rapidly approaching saturation, and where, in future, only quality will prevail or else who knew the pulse walk your way.

The northerners Catacombe will be one of the few portuguese examples to embark on this kind of sounds, and after the release of their debut recording, the EP “Memoirs” in 2008, caused some buzz, not only by the quality of his songs, but also by sharing the stage with names like Minsk or Nadja; symptomatic effect, therefore.

What initially was a solo project of Peter Sobast, quickly evolved into the band format and this is the same format that presents today “Kinetic” (after all be under the baton of Sobast), his first long-duration, composed by seven themes that are no more than a shred of emotion, a painting on a canvas bare, we will by carrying different environments, each with its color, sometimes more sweet and innocent, sometimes more harsh. Basically, what we have here is the step following the premiere, filled with themes that only with very good quality; news on music here not plentiful, but not always the good disks to demarcate the other for originality, but because they are … good! The influences are still there, more or less blurred, depending on the artwork takes shape, under the command palette of six colors in the hands of Sobast. “Anna-Liisa”, “Epic Ride” or “Mockba” will be the best strokes in this beautiful picture, abstract, but when emotions are almost palpable.
Review
Hellride Music
27.12.2010

This is yet another debut and again the music flows and breathes through great intricate melodic pieces and a balance of heavy and spatial to keep it fresh and unique. I really am impressed with the Solitude Productions/BadMoodMan/Slowburn Records family because they keep finding ways to make genres that can get very stale very quickly and keep me surprised by bringing some global talent to the forefront. Each song is unpredictable in its structure and that helps to keep it moving and swirling around your head. The riffs cascade like a tide against a rocky shoreline and there’s a bit of Isis here in that respect, but all in all this act along with A Cold Dead Body really push some boundaries and I can’t just push them off to the side as I have with too many in this style.

Aside from a very small handful of acts in this style, past the age of 16 I really don’t buy shoegaze style stuff too often and with a full stock of Isis, Mouth of the Architect and a few solid others, I never bought into that style even recently, so for me to say that something like this is good should convince a few of you to listen and investigate for yourselves.

Both are mastered by James Plotkin so that’s another plus!!!!

Author: Janet Willis
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